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Bui blog
15 mars 2011

Div je pense très sincèrement jour après jour que


Div


je pense très sincèrement jour après jour que tu peux encore faire mieux que ton collage du neuf mars deux mille onze si tu te donnais un peu la peine de te souvenir de ma voix quand nous parlions au téléphone un jour ou il faisait très beau quand que les petites étoiles nous éclairaient la route enfin ce qu'il en restait de la route je crois bien qu'il y avait un bord de mer une falaise du sable et du gravier je crois qu'il est l'heure de nous quitter même si même si rien je crois que si j'avais un peu plus de temps devant moi et bien j'écrirais un truc qui parlerait de voix de falaise et de sable oh je crois bien le tenir quelque part ce texte qui parlerait aussi d'étoiles de route et de ciel très beau le soir quand la ville est en train de basculer dans quelque chose de noir comme une voix perdue dans le sable d'une route étoilée par le gravier d'une falaise qu'on aurait manger et mal digéré tout en parlant de soleil de sexe de vérité mais la vérité n'est pas facile à dire quand on ferme un oeil et qu'on est en train d'écrire que le sable gagne la route par la falaise et non par la voix qu'on entend dans les étoiles quand le ciel est beau comme du gravier noir poli polissone un peu sur le dessus qu'on écarte avec la langue le lob l'écart qu'on tient précieusement comme un diament dans la bouche pour parler sur la route pleine de gravier sans vérité de sexe aussi qui s'apparente à une route esquintée quand le corps penche tout étoilé à sa charge cette voix transparente qu'on écoute quand la ville est une falaise dans le corps de l'autre je sais que je me mange pas je sais que de la nourriture s'enfiltre dans les étoiles qui brillent le mieux dans le ciel et aussi sur la ville pleine de falaise et de dents fragiles comme du sucre quand tu manges mon sexe sur la table pleine de sable et de gravier blanc comme une page de dictionnaire que tu apprends par coeur pour la réciter aux étoiles à la mer à la voix que tu entends dans ta tête dans tes ventres dans tes peurs là précisément les jours ou tu écris le mieux dans ma peau pour y laisser du sable du gravier un peu des deux et puis des 3 quand le sable devient un peu plus dur dans ta voix pour casser la route et puis la mère en même temps dans le sexe de l'enfant que les graviers caressent dans le même sens que la dernière fois quand la route était pleine de falaise et de cendre comme si c'était de la nourriture qu'il fallait pour écrire et nager dans les pages d'un dictionnaire retrouvé au pied d'une falaise au bord de la mer dans ce monde de dingue ou le sexe est un gravier extrêmement puissant pour percer le secret des étoiles qui tombent parfois sur des routes et des silences sans voix

Bui

copiécollé
te perdre je pense très sincèrement jour après jour que tu peux encore faire mieux que ton collage du quatre mars neuf mars deux mille onze quand j'écris toute seule si tu te donnais un peu la peine de te souvenir de ma voix quand nous parlions au téléphone un jour ou il faisait un très beau temps que les petites étoiles enfin ce qu'il en était des étoiles nous éclairaient la route enfin ce qu'il en restait de la route je doute il manque quelqu'un je crois bien qu'il y avait un bord de mer une falaise du sable et du gravier ou un bord de mer de l'eau transparente et du manque d'équilibre pour la chute je crois qu'il est l'heure de nous quitter même si même si rien c'est moi qui part je crois que si j'avais un peu plus de temps devant moi et ça me fait pleurer ce que tu écris alors je m'emmêle bien je ferais l'effort j'écrirais un truc qui parlerait de voix de falaise et de sable oh je crois bien le tenir quelque part ce texte qui parlerait aussi d'étoiles de route de rien et de ciel très beau le soir quand la ville est en train de basculer dans quelque chose de noir comme une voix perdue dans le sable d'une route étoilée par le gravier d'une falaise qu'on aurait manger et bu et mal digéré tout en parlant de soleil de sexe de vérité et qu'est-ce-que tu attends la fin ou le moment la ville est tombée sur mon dos la vérité est facile à dire quand on la mâche au fond avec les dents sales quand on ferme un oeil et qu'on est en train d'écrire que le sable gagne la route par la falaise et non par la voix qu'on entend dans les étoiles et non par le bruit qui sonne dans la chambre quand le ciel est beau comme du gravier noir poli polissone sanglote un peu sur le dessus qu'on écarte avec la langue et qu'on tourne le lob l'écart qu'on tient précieusement comme un diament dans la bouche pour parler sur la route pleine de gravier sans vérité de sexe aussi qui touche et s'apparente à une route esquintée quand le corps penche tout étoilé à sa charge cette voix transparente qu'on écoute quand la ville est une falaise dans le corps de l'autre je sais que je me mange pas je sais que je sais que de la nourriture s'enfiltre dans les étoiles qui brillent le mieux dans le ciel et aussi sur la ville pleine de falaise et de dents fragiles comme du sucre quand tu manges mon sexe sur la table pleine de sable et de gravier blanc qui coupe comme une page de dictionnaire que tu apprends par coeur pour la réciter aux étoiles à la mer à l'impuissance et le début ou la fin à la voix que tu entends dans ta tête non dans tes ventres non dans tes peurs là précisément les jours ou tu écris le mieux dans ma peau pour y laisser du sable du gravier un peu des deux et puis des 3 quand le sable devient un peu plus dur dans ta voix pour casser la route et puis tuer la mère en même temps dans le sexe de l'enfant féminin décédé que les graviers caressent dans le même sens que la dernière fois quand la route était pleine de falaise et de cendre comme si c'était de la nourriture qu'il fallait pour écrire et nager dans les pages d'un dictionnaire retrouvé au pied d'une falaise au bord de la mer et lire l'angle du plafond dans ce monde de dingue ou le sexe est un gravier extrêmement puissant pour percer le secret des étoiles qui tombent parfois sur des routes et des silences sans voix dans les bras ou le corps de l'enfant tient toute la place je veux me perdre oublier les cailloux blancs dans mes poches on a plus rien


 

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