26 novembre 2011
Ecriture sur écran montée cut
je goûte peu les écrivants contraints de dépecer autrui pour cracher leurs gouttelettes de mots. Impuissance. Aveu de vacuité vaut dispense. S'abreuvent aux eaux fortes qui les dépassent. Capables du pire comme du pire, utilisent les artifesses. Chair à canons la vie en gros plan-plan sel des autres. Moribonds à jamais, menteurs invétérés, traqueurs. Incapables de pondre seuls, collectif, ou rien. Par tous les trous, en révérence. Tiens-moi la queue que je pondisse. Collectionneurs, un peu serial un peu killer, brefs des deux bouts, le facteur sonne toujours une fois de trop, mourire. Pleurant à lacune, chiens de fente montés sur pâte molle. Déprimés constants suicidés tous les jours bien vivants les lendemains, soulant, navrant, pas bandant. Pas mouillant, cosettes texticouillés montés sur consoeurs à ressort. Niark.
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